Projet urbain

Rade de Brest, force du Pays

On connaît le Bassin d’Arcachon, la Baie du Mont-Saint-Michel, le Golfe du Morbihan…mais la rade de Brest ? Considérant que la rade de Brest demeure un espace peu valorisé au regard de son potentiel, le Conseil de Développement du Pays de Brest s’est récemment saisi du sujet, accompagné par l’Université de Bretagne Occidentale et l’ADEUPa. Pour l’Agence, le thème de la rade de Brest constitue, au travers des missions qui lui sont confiées, un sujet ancien et récurrent.

Les Capucins, le nouveau visage de Brest

Les Capucins : en plein cœur de Brest, sur un plateau qui domine l’estuaire de la Penfeld, où l’on accède par un téléphérique, Brest se donne un nouveau visage. Celui d’une ville du 21e siècle qui n’est plus simplement un grand port de guerre, mais qui devient une véritable métropole océane. Et cela sur un site dont la Marine nationale n’a plus l’usage, où prièrent les moines puis peinèrent des générations d’ouvriers de l’arsenal. Les Capucins sont un condensé de l’histoire brestoise.

Espaces publics des centres-bourgs - repères pour de belles réalisations

De nombreuses communes ont à faire face au développement de leurs périphéries au détriment des cœurs de bourg qui se dévitalisent. Face à ce constat, la prise de conscience est unanime, il y a fondamentalement un besoin de se réapproprier les espaces publics des centres-bourgs au profit de l’ensemble des usagers. Améliorer le cadre de vie des habitants, préserver des centres animés, développer l’attractivité et susciter de nouveaux usages…, sont autant d’enjeux pour que les élus interviennent intelligemment sur les espaces centraux de leurs communes.

Playdoyer pour Villeneuve

L’Atelier Populaire d’Urbanisme a été créé par des habitants en décembre 2012 dans le grand ensemble emblématique de la Villeneuve à Grenoble, longtemps considéré comme « un modèle urbanistique et social ».
Il s’inscrit dans la continuité d’une expérimentation des méthodes du community organizing menée par l’association ECHO à partir de 2010, dans une démarche de contestation du projet de rénovation urbaine porté par la municipalité et de co-élaboration d’un projet alternatif (le « projet urbain stratégique et démocratique » élaboré en 2013).